Rencontres constructives, formatrices et transformatrices en photos

 

Présentation d’une photothèque de mes rencontres formatives, constructives et transformatrices, avant et durant la rédaction de cette thèse sur le « trico-tissage résilient » tout au long de la vie, Elaboration de processus mnésique résilients auto-tutorant au service du rapport au savoir chez un être prématurément détruit dans son histoire de vie. »

Ces rencontres ont nourri ma recherche, mes investissements, mes questionnements, mes explorations, qui sont en cours d’écriture pour ce mémoire de thèse en sciences humaines et sociales.

Je soulève quelques questionnements qui résonnent lors de la présentation qui vient d’être proposée
Le bonheur d’embrasser Edgar Morin, mon maïtre à penser « la complexité humaine », est présent quotidiennement dans tous mes travaux. Ses ouvrages ont débuté à ma naissance, il avait plus de 40 ans quand il a commencé, alors je ne perds pas espoirs sur mes projets d’écriture.
Une rencontre avec un grand homme de notre Histoire dans l’éducation nationale, André de Perreti
Un grand professeure, de Nantes (émérite à ce jour), qui m’a beaucoup appris en psychologie du développement.
Un cours de réflexion clinique dia-logique, dirigé par Martine Lani-Bayle, qui ont enrichi mes pensées, mes rédactions.
Petite mise au point, du Professeure des Université de la Roche-sur-Yon, Catherine Sellenet, sur le positionnement de la problématique dans une recherche. Elle a publié de nombreux ouvrages sur la résilience distale(familiale, adoption, parentalalité, violences institutionnelles…)
La recherche permet des rencontres internationales, celle-ci est issue d’échanges culturels franco-japonais.
Avant une présentation publique d’André de Pérreti , nous, doctorants avant été invité à partager autour de nos recherches, puis l’après-midi, nous sommes à notre tour à l’écoute d’un thème proposé, par cette personnalité, invité à Nantes. (il nous a quitté en mai 2016)
Edgar Morin, invitée du CREN, et sous la direction de Martine Lani-Bayle, prépare son intervention publique.
Moment de concentration, avant ma présentation de travaux, à l’université de Nantes, sous le gémissement de l’éléphant de Nantes, qui contourne le batiment…
Rédiger, présenter, c’est un travail d’isolement, de concentration, de remise en question sur son écrit… qui semble ne pas en finir, mais qui prend toutefois forme.
Des mots, un regard de Serban Iunesco, et des encouragements inscrits pour très longtemps. Cette rencontre eu lieu lors de la présentation de mon travail, au premier congrès mondial de la résilience, en 20112, réitéré en 2014…
Rédiger, se former, se transformer, s’isoler, s’inscrire à des colloques, des séminaires, des tables rondes… nécessite une présence efficiente. Ici, c’est avec la nature, et au naturel que je puise mes ressources.
Culture et liens trans-continentaux font forces dans nos apprentissages.

 

Des instants de décompressions après le travail, les rencontres et les échanges intellectuels
Un échange chaleureux, entre Boris Cyrulnik et moi, motivant pour cette reprise universitaire 2016-2017
conférence sur les traces de la spiritualité
le plaisir de se retrouver 24 juin 2017, sur le thème des traces de la spiritualité, je puise ici les termes dont m’auront fait part mes narrateurs : je pourrais plus sereinement présenter les forces auto-tutorantes spiritueles de Thalis, Howard, Théo, Améilie….
rencontre avec mon maître à penser/panser la douleur…  Mais aussi d’être dans la compréhension des représentations de réprésentation.. 24 juin 2017
Le trico-tissage résilient s’invite dans cette réflexion de colloque du 24 juin 2017. Un point, un échange des plus motivant de cette fin d’année d’étude.

 

"Pouce" et oui, pouce signifie ici "allez ! on ose !"
« Pouce » et oui, pouce signifie ici « allez ! on ose ! »
"Rien est impossible pour Philippe, à l'un possible, l'autre pour moi.
« Rien est impossible pour Philippe, à l’un possible, l’autre pour moi ».
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